« L’étude a été pour moi le souverain remède contre les dégoûts, n’ayant jamais eu de chagrin qu’une heure de lecture ne m’ait ôté. »
Montesquieu (1689-1755), Cahiers (1716-1755), Éditions Bernard Grasset, 1941, page 3.
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(…) Les connaissances rendent les hommes doux; la raison porte à l’humanité: il n’y a que les préjugés qui y fassent renoncer.
Montesquieu, De l’Esprit des lois, 1748, Livre XV, chapitre III, Club Français du Livre, collection Les Portiques, page 292.