Bon, on va quand même pas faire comme s’il ne s’était rien passé, non ?
Addendum (5/12/2011) :
Je me croyais mutin et caustique en détournant un cliché alors que la vérité dormait simplement dans les archives. Il suffisait de la réveiller.
Merci au Tourne-à-gauche de nous rappeler en commentaire ces appels réitérés et courageux, lancés en 2007 par le petit chefaillon de la France libre contre la morgue teutonne (Le Monde 5/12/2011).
The Cowboy and the Comtesse 
trop lol !!!
Il est bien connu que notre bien-aimé Président a les mains blanches et les bottines noires. Il n’aurait jamais tenu, en tant qu’homme politique, le moindre propos pouvant offenser, de manière aussi minime soit-elle, nos voisins, partenaires et alliés allemands depuis que Mitterrand scella avec Kohl l’alliance entre les deux ennemis d’hier.
Masi Sarkozy a la mémoire courte, on s’en rend compte tous les jours.
Génial !!! Mort de rire !!!
Ach ! Qu’importe que le petit épicier hongrois n’ait pas de mémoire, vous en avez pour deux :-).
Je ne résiste pas à l’envie d’afficher votre document d’Ach…ives au bas du billet (en vous en créditant, natürlich !)
Le vrai dialogue qui illustre le niveau actuel des relations franco-allemandes :
– Nicolas Sarkozy » Où-est ce que je gare la Mercedes ? »
– Angela Merkel » Là, là! sur la gauche… »
Ah le couple franco-allemand…
Le vrai dialogue, Bob, (je peux bien vous le donner) est hélas bien plus anodin. Les deux dirigeants, entre deux déclarations solennelles, se livrent en fait à un petit jeu, vieux comme le monde mais toujours aussi amusant : « papier, caillou, ciseaux ». Et ils ont bien raison. Franchement, faut bien rire un peu.
A en juger par l’image, Nico vient de faire « ciseaux » tandis qu’Angèle brandit la feuille de « papier ». Les ciseaux coupent le papier, 1 point pour la France. « Encore un que les B… » euh… pardon.
Autre solution :
– NS : « Euh, tu prends une bière avec tes saucisses ? »
– AM : « Pousse-toi Nicolas, je travaille… »
ou z’encore ?
ce soir tu l’as promis Angela cinoche
écoute Nicolas c’est la crise : la bagnole 778€ tes bouquins le double nos enfants le triple le ceci le cela c’est pas possible le cinéma ce soir le lit on dort t’as qu’à le faire ton cinéma
Ou alors :
– J’vais à la pizzeria, tu me rejoins ?
– Mais oui, vas-y, je te rejoins dans cinq minutes
ou bien
Nico je te suis si tu mets des nuances
mais tu t’es vue Angela mettre des nuances ?