David Douillet, « l’homme qui murmurait des billets à l’oreille des blogueurs. » Parce que franchement, pour évoquer le quintal et demi de viande adipeuse que l’on vient de livrer au ministère des Sports, point n’est besoin de se ronger le rognon supérieur. Suffit de recopier son entrée Wikipedia :
David Douillet est impliqué en 2000 dans une affaire de complicité et recel de banqueroute par détournement d’actifs de la société Travelstore, dont il détenait 21% du capital. Le Canard enchaîné baptise du nom de David Douillet un amendement à une loi d’amnistie votée en 2002 qui permet l’arrêt des poursuites avant le jugement et profite également à d’autres sportifs proches du couple Chirac, notamment Guy Drut ou Jean-François Lamour.
En 2009, à l’occasion de son arrivée en politique, plusieurs médias relèvent des propos (…) sexistes et homophobes dans les livres qu’il a publiés en 2000 et 2003.
Dans L’âme du conquérant, paru en 1998, il compare la conquête d’une femme à « l’excitation de la chasse » et il soutient que la place des femmes est au foyer.
Cette place subordonnée de la femme, découle, selon Douillet, de sa nature, et son rôle est inscrit dans ses gènes : « C’est la mère qui a dans ses gènes, dans son instinct, cette faculté originelle d’élever les enfants. »
In fine, c’est Dieu qui a déterminé la nature et la place de la femme dans la société :
« Si Dieu a donné le don de procréation aux femmes, ce n’est pas par hasard. »
Dans le même livre, il écrit : « On dit que je suis misogyne, mais tous les hommes le sont. Sauf les tapettes. »
Cowboy
Au championnat du monde de la connerie, David Douillet est sûr de décrocher la médaille d’or, qui lui sera remise par l’élyséen roitelet®.
Mais lui, il ne connaissait pas les valises et les sacoches, il mettait des pièces d’or dans ses poches, comme au temps de Louis XVI : il n’a pas encore entendu le cri du peuple !
N’en soyez, hélas, pas si sûr, Dominique. Sur l’incommensurable tatami de la connerie, la concurrence est féroce et les compétiteurs ont vraiment la gagne. Franchement, je voudrais pas être arbitre. Chacune de mes décisions serait un véritable crève-coeur. En choisir un, ce serait, à chaque fois, se priver de cent, tout aussi valeureux.
Mais que vont devenir ces pauvres français de l’étranger ? Il va être difficile de remplacer un homme d’une telle dimension.
Rassurez-vous Co…, euh… cher ami, la république ne manque pas d’homme de valeur et de la trempe du gros tas.
C’est pas une demi-portion,
une galette, un avorton,
lui c’est un mâle.
(…)
Il peut me filer des coups,
Il peut me piquer mes sous,
sans que je râle.
Il a des gros biscoteaux,
et c’est lui qu’j’ai dans la peau,
Voyons… que je me rappelle la date de cette chanson de Frehel? Ah oui, 1933.
Ça le rajeunit pas, le pauvre garçon.
Anita,
Je reconnais bien là votre goût pour les… baleines.
Et pour vous rappeler votre… jeunesse :-), voici la chanson.
PS au fait, votre numéro de téléphone, c’est bien le 06… oh pardon.